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É C H A N G E S |
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Description Les premières notes de Back Door Man sont déjà jouées quand l’enregistrement débute. Jim lance un « Suck » très très clair. Après le premier couplet, juste avant « You men eat your dinner… », Jim lance quelques rires « démoniaques » pour aboutir sur plusieurs « Alright, o.k. », et la chanson se termine sur un « Yeah » de Jim. Au début de Break On Through, Ray y va d’une introduction différente (ce qu’il reprendra plus tard à chacune des introductions de Break On Through) et Jim lance : « Come on baby, be my hand. You understand ». Juste avant « I found an Island… », Jim y va de quelques improvisation et le tout se termine sous un « Thank you » de la part de Jim. Pendant les premières note de When The Music’s Over, Jim dit « Come on Baby, you’re my girl ». Avant le « we want the world… » Jim lance à la foule : « Ready? Well… We do want it, don’t we? » La foule répond : « Yeah » et Jim ajoute : « Oh yeah!?, I’m serious! », concluant avec le « We want the world and we want it now! », puis le groupe enchaîne immédiatement, furieusement, particulièrement de la part de Ray. Le tout se calme et Jim récite son poème Poor Otis (qui fut plus tard enregistré en studio et mit sur l’album The Soft Parade au tout début de Runnin’ Blue). Otis Reeding qui devait jouer le même soir que les Doors au Winterland Arena, périt dans l’écrasement de son avion le 10 décembre 1967, soit un peu moins de 2 semaines avant les concerts du Winterland Arena. Au tour de Ray de prendre les commandes vocales pour Close To You, qui se conclut abruptement, Ray disant : « We lost it » à 4 reprises. Ensuite, il joue les premières notes (basse) d’une chanson rarement interprétée, Manish Boy (ou aussi appelée I’m A Man). Ray et Jim se partage les voix et à la fin, la foule commence à applaudir de manière rythmique, et Jim récite « We get together, We get together one more time » (une ligne de Five To One). Puis, le premier coup de baguette de John résonne et Light My Fire débute, la chanson se terminant sous les applaudissement d’une foule un peu timide. Texte par Pierre-Yves Thibault Contenu
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